Dans un centre de tracing: «Notre rôle n’est pas d’être des policiers, on est plus dans la prévention»


Qui pense tracing en pleine vague omicron s’imagine une fourmilière grouillante et besognante au son des téléphones hurlants. C’est oublier que, comme tout secteur, les call centers sont aussi soumis à la règle du télétravail. Ce mercredi, le plateau d’iKanbi, l’opérateur principal qui gère le tracing wallon, situé à Loncin, dans la banlieue liégeoise, est assez calme. Quarante à cinquante personnes, partagées sur deux shifts (le call center fonctionne en effet 7 jours sur 7, de 9h à 20h en semaine, et de 10h à 18h durant le week-end et les jours fériés), transitent ici par jour. Le reste bosse de chez lui. Alors que la vague omicron frappe la Belgique, iKanbi a revu ses effectifs à la hausse et est proche d’atteindre la barre de 400 agents pour tracer les cas positifs, prévenir les contacts à haut risque, vérifier les quarantaines et les PLF des vacanciers.
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