Alexander Kristoff: «La Belgique, c’est un peu comme la maison»
À trente-quatre ans, Alexander Kristoff débarque, rasséréné, chez Intermarché – Wanty Gobert, formation belge de son état. Un pays pour lequel l’ancien vainqueur du Ronde a une tendresse particulière.

Il a beau balader une carcasse de déménageur, façonnée dans un roc typiquement baltique qui semble dépourvu de la moindre fissure, Alexander Kristoff propose pourtant la définition même de l’affabilité. Sous son masque, le Norvégien, vainqueur de Sanremo et du Ronde, ne cesse de sourire, véritablement heureux d’être là. De lancer sa saison, cette nouvelle année qu’il va écrire sous le maillot d’Intermarché – Wanty Gobert. L’ancien champion d’Europe en parle comme d’« un nouveau départ », une envie folle de retrouver ses standards victorieux après un cru plus difficile, l’année dernière. Rencontre.
Alexander, les quatre grosses heures d’effort sous le soleil espagnol que vous venez d’avaler ne semblent même pas malmener votre plaisir visible…

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