Parler des droits humains à l’occasion des Jeux

Les États-Unis et leurs alliés – Royaume-Uni, Canada, Australie – ont donc choisi début décembre de boycotter diplomatiquement les JO de Pékin en raison du « génocide et des crimes contre l’humanité en cours au Xinjiang ». Ils ont été rejoints vendredi par le Danemark, « très préoccupé par la situation des droits de l’homme en Chine ». Tandis que Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch, appelait en fin de semaine davantage de pays à faire de même, « le gouvernement de Pékin utilisant clairement les Jeux pour masquer sous les exploits sportifs sa terrible répression ».
Et si cet événement sportif était au contraire une occasion de parler de ces abus ?
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