Accueil Culture Scènes

«Ether/After»: le vertige du vide

Au Théâtre les Tanneurs, Armel Roussel entend célébrer la vie, l’amour et la joie d’être ensemble. Abandonnée par le metteur en scène, une troupe de comédiens se débat avec ses propres interrogations existentielles. Un seul être vous manque et tout (un spectacle) est dépeuplé.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

On avait envie d’aimer Ether/After, nouvelle création d’Armel Roussel. Vraiment envie. Comment faire la fine bouche devant une pièce qui entendait célébrer le théâtre, fêter le fait de se retrouver ensemble autour de cet espace, le plateau, « rempli de corps chauds » tel que décrit par le metteur en scène lui-même ? Promis, juré, on voulait follement aimer ces plus de deux heures de camaraderie revendiquée à parler de la vie et de l’amour, à être là, tout simplement, autour d’une bonne raclette, comme un remède à la mélancolie.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Scènes

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs