UE: Roberta Metsola à la présidence du Parlement, un symbole qui en gêne plus d’un(e)
Les eurodéputés socialistes veulent « avancer » sur l’accès à un avortement légal et sûr pour toutes. La présidence française veut « prendre des initiatives ».


La troisième femme, seulement, qui préside le Parlement européen. La première représentante de la « génération Erasmus » qui devient l’un des visages politiques de l’Union européenne. Deux symboles forts… Le troisième l’est tout autant, bien plus controversé. Avec l’élection de Roberta Metsola, c’est une opposante notoire au droit à l’avortement (ses prises de position comme eurodéputée en attestent) qui s’installe aux perchoirs bruxellois et strasbourgeois pour deux ans et demi.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
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Posté par Moriaux Raymond, mercredi 19 janvier 2022, 8:45
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Posté par Giefvan Agathe, mardi 18 janvier 2022, 23:29
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Posté par Chalet Alain, mardi 18 janvier 2022, 22:25
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Posté par Moriaux Raymond, mardi 18 janvier 2022, 23:30
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Posté par Moriaux Raymond, mardi 18 janvier 2022, 22:08
Plus de commentairesCurieux comme certains se donnent beaucoup de mal pour soutenir des positions rétrogrades quand elles ne sont pas émises en Afghanistan. La répression de l'IVG dont on prétend qu'elle relève de rien moins que l'assassinat est une de ces questions. La peine de mort et l'euthanasie en sont deux autres. Je suppose que si l'apologie du nazisme n'étai pas devenue une infraction, les mêmes la feraient au nom de la liberté d'expression. Et tout ça sous les applaudissements ...
Mais enfin !! Tout président issu de l'assemblée aura forcément soutenu des points de vue partisans, qui plaisent à son camp politique et déplaisent à l'autre camp. Le tout est que, dans le cadre de sa fonction, elle maintienne la neutralité. — Pour ceux qui se demandent ce que c'est la "cancel culture" woke : c'est ça. Considérer que certaines opinions sont sacrées et attaquer les gens qui ne les partagent pas. Lisez les réponses à ce commentaire, qui vont vous expliquer que la question de l'avortement est sacrée et ne supporte pas le débat et la liberté d'expression et que je suis un suppôt du conservatisme etc. (moi qui ai foulé le pavé en défense du droit à l'avortement). Mais je défends avec autant de conviction la liberté d'opinion.
Quant à l'égalité entre les hommes et les femmes, c'est une évidence, du moins dans son principe. Mais le fait est qu'il y a de grandes inégalités naturelles et impossibles à changer entre hommes et femmes. Les plus évidentes sont dues au fait que seules les femmes peuvent enfanter et que l'enfantement tient une place énorme dans la vie de la plupart des femmes et des hommes. Cela a pour conséquence qu'il y a toute une série de situations où hommes et femmes sont en réalité inégaux et même très différents: relations sexuelles, avortement, naissance, garde des enfants, relations sociales, etc. Dans toutes ces situations, il faudrait donc soigneusement définir ce que cette "égalité" veut dire, sinon elle restera un slogan vide de sens, mais auquel chacun pourra faire dire ce qu'il veut.
Qu'est-ce que cette tirade a à voir avec l'IVG ?
Mais comment se fait-il qu'il ait été aussi inévitable d'élire cette espèce de grenouille de bénitier rétrograde ?