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«Ruuptuur»: un sacré tour de manège avec quatre centauresses

Explorant le thème de la rupture, Mercedes Dassy commence par rompre avec les habitudes au profit d’une sorte de puzzle chorégraphique barré et réjouissant.

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Chef adjoint au service Culture Temps de lecture: 3 min

Quatre jeunes femmes sur un plateau aux allures de salle de répétition que l’on aurait oublié de ranger. Sur plusieurs tables posées çà et là, des carnets, des bidons, des fleurs et d’autres éléments épars dont un de ces écrans tactiles colorés servant à créer une ambiance sonore. Tout en passant les spectateurs en revue, les quatre donzelles activent l’une ou l’autre touche créant une succession de sons, de bribes musicales où revient régulièrement le « Besoin de personne… » de Véronique Sanson. On s’amuse de ce brouhaha sonore tout en détaillant le look étonnant du quatuor. Les pantalons de cuir, les bottines noires et le style énergique semblent sortit tout droit de Forces, percutante création chorégraphique de Leslie Mannès à laquelle participait Mercedes Dassy, responsable de ce Ruuptuur.

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