Corruption et conflit d’intérêts: la Belgique «busée»
La Belgique n’a mis en œuvre que 2 recommandations sur 22 du dernier rapport de l’organe anticorruption du Conseil de l’Europe, le Greco.


À l’école, le mauvais élève serait forcé de reconnaître qu’il est busé. Belgicisme fort usité chez nous, il pourrait commencer à se faire connaître dans toute l’Europe au vu du résultat de l’examen catastrophique présenté au Greco, le Groupe d’Etats contre la corruption.
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Pas assez fous pour scier la branche sur laquelle trône leur médiocre pouvoir abreuvé de compromissions inavouables.
Pas étonnant que la Belgique devienne une plaque tournante de tous les trafics, drogues, œuvres d'art, armes, corruption, etc., etc. Michel Claise parle de dizaines de milliards qui échappent au fisc. Mais peut être pas à tous nos trop chers politiciens...