Romelu Lukaku, le «Blues» de Conte
Quand il a choisi de revenir dans le « club de son cœur », Lukaku croyait qu’il était enfin prêt pour réussir au top après ses deux grosses saisons en Italie. Son souci, c’est qu’il a choisi une équipe qui ne sait pas quoi faire de lui. Ah s’il pouvait rejoindre l’autre vestiaire ce dimanche, celui du Tottenham de son mentor, Antonio Conte…

À son énième retour à Stamford Bridge, Romelu Lukaku avait été salué comme la pièce manquante au puzzle de Tuchel. À l’autopsie, au-delà des 6 matchs qu’il a manqués entre covid et entorse à la cheville, indépendamment d’un rendement discret (8 buts et 2 assists en 23 rencontres), il a été, jusqu’ici, plus un problème que l’élément simplificateur d’un système qui fonctionnait de surcroît à merveille sans lui. La pièce s’emboîte mal.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Comment oser une fois de plus critiquer le meilleur buteur de notre équipe nationale ! Lukaku est un avant-centre doté de qualités exceptionnelles et à ce titre il doit être servi, ce qui n’est pas le cas à Chelsea. Dommage qu’il n’ait pas un De Bruyne pour les passes décisives grâce à qui Manchester City cartonne, tellement il donne des ballons inratables à n’importe lequel de ses coéquipiers. Avec un support de ce profil, Lukaku serait le meilleur buteur de Premier League ! Haro sur ses détracteurs !
Ha! On n'arrête pas de le clamer sur tous les tons! RL est largement surfait! Par les médias belges! Il peut être bon lorsque les conditions les plus favorables à son "expression" sont réunies. Mais on a toujours vu aussi qu'il est affligé de défauts techniques congénitaux, rédhibitoires pour un prétendu attaquant de classe mondiale. Il ne sera jamais l'égal de Lewandowski, le Polonais qui marque des buts plus vite que son ombre pour le Bayern. Longtemps, ses "stats" lui ont servi de bouclier, ont entretenu l'illusion. La "bulle" Lukaku (au sens économique) a éclaté à Chelsea, à force d'avoir été gonflée. On souhaite de tout cœur au bonhomme de ne pas devenir le 2è joueur belge de la soi-disante "génération dorée" (après Eden Hazard), à être complètement démonétisé. Et un mauvais coup au passage pour la valeur intrinsèque des joueurs belges dans le mercato.