Scènes: «Larsen C» à Pays de Danses, glissades et ondulations dans le noir
Au Théâtre de Liège, « Larsen C », fascinante et mystérieuse chorégraphie de Christos Papadopoulos a ouvert le festival Pays de Danses qui, à partir du 28 janvier, pourra à nouveau se dérouler devant des salles pleines.


Dans le noir absolu de la salle, une tache pâle apparaît dans le lointain. Figée d’abord puis bougeant légèrement avant de replonger dans le noir. Il faut deux ou trois apparitions pour qu’on réalise qu’il s’agit là du dos d’un danseur, se déplaçant en de lents mouvements de va-et-vient latéraux.
On a à peine identifié la chose qu’une autre vision s’impose. Un corps sans tête glisse lentement en fond de scène. Là encore, il faut un moment pour comprendre ce que l’on voit. Déjà, le corps en question se déplace, se rapproche, se dévoile un peu plus. Le visage et les avant-bras nus sont désormais visibles émergeant d’un océan de noir auquel participent les costumes. Tandis qu’une bande-son distille des vrombissements, souffles et autres bruits non identifiés, le danseur glisse, ondule, se déhanche sans jamais que ses pieds quittent le sol.

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