Burkina Faso: un putsch alimenté par l’échec sécuritaire et la lassitude d’une population appauvrie
Plusieurs facteurs expliquent la prise de pouvoir par les militaires. Mais le rôle de la France reste flou.


Exprimée par Emmanuel Macron, la seule question qui subsiste au Burkina Faso, c’est l’état de santé du président déchu, Roch Marc Christian Kaboré, détenu dans une caserne militaire. Via un communiqué signé par le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo, qui se présente comme le président du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR), il serait « en bonne santé » mais déchu de tous ses pouvoirs tandis que la Constitution est suspendue, le gouvernement dissous ainsi que l’Assemblée nationale.

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