Bloody Sunday: un demi-siècle de lutte pour la justice
Cinquante ans après le massacre, les familles refusent de tourner la page : les soldats qui ont tiré dans la foule n’ont jamais été condamnés. Certains ont même été promus.

C’est l’une des tragédies les plus médiatisées de la guerre civile nord-irlandaise. Le dimanche 30 janvier 1972, des familles catholiques de Derry se rassemblent pour manifester pacifiquement contre leurs conditions de vie. Discriminées, elles peinent à avoir accès à l’emploi, au vote et au logement. Pire : une loi récemment votée permet alors à la police d’emprisonner sans procès toute personne soupçonnée de faire partie de l’IRA, l’armée républicaine irlandaise qui tente de reprendre par les armes le contrôle de la province.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
les crimes des puissances occupantes ne sont jamais punit et le négationnisme historiques et un double crime
Il est inconcevable d'écrire un article aussi partisan un demi-siècle après les événements. L'activisme fanatico-romantique pour la réunification de l'Irlande n'est pas mort, sauf très majoritairement ... en Irlande. Des tentatives d'organiser à Dublin des hommages à Richard Casement se sont heurtés récemment à une glaciale indifférence