Job de rêve, correspondant en Chine?
Le travail des journalistes étrangers en Chine n’a jamais été aussi difficile. C’est ce qui ressort d’une enquête menée en décembre dernier par le FCCC, le Club des correspondants étrangers en Chine, auprès de ses membres, issus de 30 pays et régions.


Il y a les jobs en or – goûteur de chocolat ou gardien d’île tropicale – et il y a les autres. Et notamment ceux qui étaient, il y a peu, attractifs et passionnants, mais qui se sont singulièrement compliqués. Dans cette catégorie, on peut désormais ranger avec certitude le métier de correspondant en Chine pour un média étranger. Les pionniers y avaient découvert avec bonheur un pays excitant, certes bureaucratique et complexe, mais bouillonnant, avec une population chaleureuse. Cela, c’était hier.
Aujourd’hui, selon le FCCC (Club des correspondants étrangers en Chine), le travail des journalistes n’y a jamais été aussi difficile. Expulsions et non-renouvellement des visas et des accréditations forcent les bureaux des grands médias à fonctionner en sous-effectif.
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A lire l'article, travailler en Chine c'est l'enfer. Il est vrai que tout ce qui touche de près ou de loin à ce pays est mauvais (sauf quand on doit y acheter ou faire produire des biens).
C'est juste une dictature de plus en plus agressive qui assume voire revendique l'héritage de Mao (80M de morts). Imaginez un gouvernemenr allemand se revendiquant de l'Allemagne de années 30-40....