Le cri cathartique d’Elisabeth Woronoff
Expérience troublante, « Skrik » vous immerge dans le cerveau d’une femme alors que resurgit le souvenir du viol dont elle fut victime enfant. À Charleroi (Ancre) puis Bruxelles (Théâtre National).

S
krik, c’est le titre original, en norvégien, du Cri, célèbre tableau d’Edvard Munch. Il y a dans ce son – Skrik – comme dans le tableau du peintre d’ailleurs, quelque chose de distordu, de glaçant, comme un os qui craque. Plus qu’un bruit, c’est un éclat, proche de la porcelaine qui se brise. Une résonance fracturée qui colle parfaitement à la pièce d’Elisabeth Woronoff,

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