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Le cri cathartique d’Elisabeth Woronoff

Expérience troublante, « Skrik » vous immerge dans le cerveau d’une femme alors que resurgit le souvenir du viol dont elle fut victime enfant. À Charleroi (Ancre) puis Bruxelles (Théâtre National).

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Temps de lecture: 4 min

S krik, c’est le titre original, en norvégien, du Cri, célèbre tableau d’Edvard Munch. Il y a dans ce son – Skrik – comme dans le tableau du peintre d’ailleurs, quelque chose de distordu, de glaçant, comme un os qui craque. Plus qu’un bruit, c’est un éclat, proche de la porcelaine qui se brise. Une résonance fracturée qui colle parfaitement à la pièce d’Elisabeth Woronoff, Skrik , et ses 60 minutes d’expérience éminemment sensorielle (visuelle mais aussi sonore et atmosphérique) qui vous immerge dans le cerveau d’une femme qui a vécu l’inceste et recouvre la mémoire avant de tenter de reconstruire son identité.

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