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Covid Safe Ticket, certificat de rétablissement, tests: ce qui va bientôt changer pour les Belges

De nouvelles mesures vont entrer en vigueur à compter du 1er mars.

Temps de lecture: 2 min

Du changement est à l’horizon concernant les documents sanitaires en Belgique. A partir du 1er mars, la durée de validité de certaines attestations va être réduite. Ainsi, pour qu’une vaccination soit considérée comme complète il faudra avoir réalisé sa primo-vaccination (1 dose de Johnson, deux doses d’Astrazeneca, de Pfizer et de Moderna) depuis moins de 5 mois. Après ce délai, la dose de rappel (la 2e ou la 3e dose selon le vaccin utilisé) sera obligatoire pour obtenir son CST.

L’autre changement important concerne le certificat de rétablissement : celui-ci ne sera plus valide que 5 mois (150 jours) après un test PCR positif au covid contre 6 (180 jours) jusqu’à présent. Concrètement, pour avoir un CST valide, il faudra avoir fait sa dose booster le 1er mars si l’on a reçu sa deuxième dose avant le 1er octobre. De même à cette date, le certificat de rétablissement ne sera plus valide si l’on a été infecté avant le 1er octobre.

Le testing, dont la durée de validité n’est pas modifiée, reste bel et bien une possibilité offerte aux non-vaccinés d’obtenir un CST valide. A noter aussi que ces changements pour l’obtention du pass sanitaire concernent uniquement les plus de 18 ans, les seuls à être éligibles à la dose de rappel.

Par ailleurs, depuis le premier février, le certificat numérique européen a été modifié. Il a désormais une durée de validité, dans toute l’Union : 270 jours après l’injection de la deuxième dose (ou de l’unique pour le Johnson), au terme desquels, pour le garder, il faudra un booster. Le certificat vaut aussi pour les guéris, 180 jours après le premier test positif au coronavirus, et pour les testés, 72 heures après un PCR négatif, 24 avec un antigénique.

À lire aussi Covid Safe Ticket: ce qui change le 1er mars (infographie)

 

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3 Commentaires

  • Posté par Donatien Cuber, jeudi 10 février 2022, 7:49

    Soit on accepte et on continue dans le délire vaccinal (combien de doses pour être protégés, personne n'en sait rien...sauf les politiques qui en on fait une religion). Soit on refuse, on boycotte ceux qui demandent un CST, et les politiques feront vite marche arrière. Mais vu les réactions à la sortie de Magnette sur l'e-commerce, les drogués de la consommation ne sont pas prêts à abandonner leur fix quotidien. Tous à vis seringues !

  • Posté par Smyers Jean-pierre, jeudi 10 février 2022, 9:39

    Moi je pense plutôt à un ancien 'recyclé' sous un nouveau pseudo. À nouveau un suiveur de Sarkis Simonjan sans doute.

  • Posté par Raspe Eric, jeudi 10 février 2022, 8:48

    Tiens, un nouveau plouc dans la smala dalton. Sans le vaccin , ducon, les assouplissements ne seraient même pas imaginables. Même si la vaccination ne protège pas assez de la transmission, elle le fait d'autant mieux et d'autant plus longtemps que les sujets vaccinés sont jeunes. LE problème avec les variants du virus, c'est qu'ils ont besoin de moins en moins de particules virales pour infecter une personne. L'efficacité des mesures prises doit donc être d'autant plus grande pour réduire l'exposition au virus sous le seuil d'infection. Aucune des mesures sanitaires prise isolément n'en est capable. Elles doivent être combinées pour être efficace. Si on favorise la vaccination des sujets chez qui le vaccin protègera mieux contre la transmission, celle-ci sera réduite et le risque de contaminer une personne sensible sera réduit. Mais c'est trop compliqué à comprendre pour les aneuronés.

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