Les questions que pose la semaine des quatre jours
Certains détails devront être réglés dans le cadre des relations collectives de travail. Toutefois, on y voit déjà un peu plus clair quant à l’application de cette mesure nouvelle.


Flou. L’accord intervenu mardi à l’aube ouvre, pour les salariés, le droit à une flexibilité accrue. Soit prester en quatre jours le nombre d’heures habituellement travaillées en cinq ; soit travailler davantage une semaine pour alléger sa charge la suivante. Tout cela, assure le gouvernement, afin de mieux concilier vie professionnelle et sphère privée. Mais cette décision comporte encore bien des zones d’ombre, qu’il convient d’éclaircir.
1

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir12 Commentaires
-
Posté par Lete Catherine , mardi 5 avril 2022, 8:57
-
Posté par curto calogero, samedi 19 février 2022, 11:46
-
Posté par Fonder Daniel, lundi 21 février 2022, 19:02
-
Posté par Fonder Daniel, lundi 21 février 2022, 19:02
-
Posté par curto calogero, samedi 19 février 2022, 11:38
Plus de commentairesIl est grand temps de changer notre paradigme quand on parle du travail et de ses codes. Dans le monde tel qu'il évolue, la composante "temps" que ce soit en nombre de jours ou en nombre d' heures n'est plus une composante significative et ne confondons pas "flexibilité" avec réduction du temps de travail ... La flexibilité est plus étendue que cela et peut prendre diverses formes et peut aussi être une combinaison de plusieurs des ses formes. Ce résonnement de réduire le temps de travail ne marche que pour les postes très peu qualifiés et/ou de fonctionnaires. Aujourd'hui, un poste est de plus en plus décrit sous forme de "responsabilité" (vis à vis de projets ou de clients) et la responsabilité ne s'arrête pas le Jeudi soir à 16h00. De plus, ceux qui prétendent que cette réduction du temps de travail - pour la majorité des hommes - sera bénéfiques aux femmes car elle leur permettra de s'occuper de leurs enfants, (et de faire la cuisine et le ménage ...) n'est qu'une poudre aux yeux pour avoir bonne conscience et surtout pour légitimer la raison pour laquelle les femmes n'accèdent pas aux postes à responsabilité et donc ne perçoivent pas le même salaire que les hommes .... Une femme qui allaite son petit ne l'empêche pas de réfléchir à son projet/son client. J'ai même envie de dire que c'est dans ces moments de calme qu'on réfléchit le mieux. Alors, messieurs les socialistes ... pour moi, votre réduction de temps de travail, c'est non merci! Revoyez plutôt en profondeurs les codes du travail et ajoutez-y une "vraie" flexibilité.
Le devoir d'un politique, est de fournir du travail a toutes les personnes qui demandent a travailler, les personnes inscrite au chômage sont disponible sur le marché de l'emploie, ils faut les prioriser, plutôt que répartir le travail sur ceux qui travail, ils faut tenir compte de l'ensembles de travailleurs disponible et ensuite répartir équitablement le travail, ainsi plus de chômeurs et une répartition équitable.
Et la réalité ? Elle peut être très différente d'une personne à l'autre. On semble oublier les très nombreuses personnes qui ont plusieurs jobs, parfois bénévoles, souvent rémunérés en gris par des frais ou du noir, souvent aussi dans un statut d'indépendant complémentaire. Combien n'ont pas travaillé ou même construit leur maison au delà de leurs 38h de travail. Tout est dans la motivation, l'épanouissement ... on retrouve trop ces dialectiques héritages de la lutte des classes, du mind de fonctionnaire même zélé, ... et l'on peut le dire de ceux qui essaient de profiter techniquement de tous les avantages possibles. Heureux, ceux qui aiment travailler, y trouvent des satisfactions , ... se sentent utiles pour la société.
Et la réalité ? Elle peut être très différente d'une personne à l'autre. On semble oublier les très nombreuses personnes qui ont plusieurs jobs, parfois bénévoles, souvent rémunérés en gris par des frais ou du noir, souvent aussi dans un statut d'indépendant complémentaire. Combien n'ont pas travaillé ou même construit leur maison au delà de leurs 38h de travail. Tout est dans la motivation, l'épanouissement ... on retrouve trop ces dialectiques héritages de la lutte des classes, du mind de fonctionnaire même zélé, ... et l'on peut le dire de ceux qui essaient de profiter techniquement de tous les avantages possibles. Heureux, ceux qui aiment travailler, y trouvent des satisfactions , ... se sentent utiles pour la société.
Dermagne, va précipiter le parti socialiste dans le déclin, a l'image des socialiste en France.