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«Flesh»: l’irrépressible besoin de l’autre

En quatre petites histoires muettes, Sophie Linsmaux et Aurelio Mergola montrent à quel point le contact humain, en chair et en os, nous est indispensable.

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Chef adjoint au service Culture Temps de lecture: 3 min

Le gel pour les mains, le masque pour la bouche et le nez, le petit bonnet pour les cheveux, les larges lunettes pour les yeux et la salopette jetable pour le corps… les premières secondes de Flesh, nouvelle création de la compagnie Still Life, ont un air de déjà-vu et revu. Un air de cette période où le simple fait d’approcher un autre était devenu synonyme de danger. Où pour voir un père, une mère, un fils, une fille, à l’hôpital, il fallait s’équiper comme pour une expédition sur Mars.

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