Vincent Blondel (recteur de l’UCLouvain): «L’idée que je puisse couvrir des faits est éprouvante»

Pressé par l’extérieur et l’intérieur de son institution, le recteur de l’UCLouvain Vincent Blondel défend sa volonté farouche de lutter contre le harcèlement.

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Pour Vincent Blondel, l’université a une responsabilité plus grande encore que d’autres lieux en matière de lutte contre le harcèlement et le sexisme.

Par Fanny Declercq et Béatrice Delvaux

Publié le 16/02/2022 à 22:37 Temps de lecture: 5 min

Le « MeToo Academia » fait beaucoup de bruit et la pression est forte sur les dirigeants des universités francophones, en particulier celle de l’UCLouvain. Après avoir déjà répondu à nos questions ce mardi, le recteur Vincent Blondel a souhaité être confronté plus longuement à nos interrogations et aux zones d’ombre nées d’une affaire évoquée dans Le Soir, de la publication d’une carte blanche et des déclarations d’un de ses professeurs, Jean-Pascal van Ypersele.

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4 Commentaires

Posté par Deladrier-rase , jeudi 17 février 2022, 10:48

Pas de place pour le harcèlement (le vrai, pas une blague à 2 balles) et bien sûr pour les agressions...mais à force de tout balancer (ton porc, ton prof, ton...) beaucoup oublient la présomption d'innocence !!! Ce n'est sans doute pas facile mais il faut déposer plainte en justice, c'est la seule solution...et avoir des preuves (donc visite médicale immédiate). C'est plus facile d'ameuter les médias plusieurs mois après des faits que de porter plainte discrètement!?

Posté par Kolp Manuel, jeudi 17 février 2022, 3:07

Est-ce que vous allez comprendre que le problème est que c'est le système tout entier qui décourage à porter plainte par peur de représailles, pressions, dégâts, conséquences, ... sur la victimes et aussi autrui (collègues, service, regard des autres, ...). Ce n'est pas avec l'un ou l'autre conseiller, personne de contact dont ce n'est pas le métier, cellule financée en interne que cela va changer. En plus dans ces milieux là, tout se sait à des kilomètres. Et pour un cas de harcèlement sexuel, il y en a 20-30 de harcèlement moral non déclaré. Faites le compte!

Posté par VAN HOOSTE Christian, mercredi 16 février 2022, 23:11

Parmi les anagrammes de UCL, il y a en un de très particulier. Vous trouvez ?

Posté par Dupont Vincienne, jeudi 17 février 2022, 8:00

Luc ?

Posté par Deladrier-rase , jeudi 17 février 2022, 10:48

Pas de place pour le harcèlement (le vrai, pas une blague à 2 balles) et bien sûr pour les agressions...mais à force de tout balancer (ton porc, ton prof, ton...) beaucoup oublient la présomption d'innocence !!! Ce n'est sans doute pas facile mais il faut déposer plainte en justice, c'est la seule solution...et avoir des preuves (donc visite médicale immédiate). C'est plus facile d'ameuter les médias plusieurs mois après des faits que de porter plainte discrètement!?
Posté par Kolp Manuel, jeudi 17 février 2022, 3:07

Est-ce que vous allez comprendre que le problème est que c'est le système tout entier qui décourage à porter plainte par peur de représailles, pressions, dégâts, conséquences, ... sur la victimes et aussi autrui (collègues, service, regard des autres, ...). Ce n'est pas avec l'un ou l'autre conseiller, personne de contact dont ce n'est pas le métier, cellule financée en interne que cela va changer. En plus dans ces milieux là, tout se sait à des kilomètres. Et pour un cas de harcèlement sexuel, il y en a 20-30 de harcèlement moral non déclaré. Faites le compte!
Posté par VAN HOOSTE Christian, mercredi 16 février 2022, 23:11

Parmi les anagrammes de UCL, il y a en un de très particulier. Vous trouvez ?
Posté par Dupont Vincienne, jeudi 17 février 2022, 8:00

Luc ?