Comprendre le conflit entre la Russie et l’Ukraine en cinq questions
Pour les élites russes, l’indépendance d’une Ukraine si étroitement liée à Moscou par son histoire est une aberration. Dans un long texte historique, le chef du Kremlin l’avait déjà expliqué l’été dernier.

Vladimir Poutine l’a fait : ses troupes sont entrées en Ukraine. Régulièrement, Vladimir Poutine nie la légitimité de l’Etat ukrainien en général, et martèle sa thèse présentant l’Ukraine comme un pays artificiel et indissociable de la Russie. Retour sur quelques points historiques pour éclairer la guerre qui oppose aujourd’hui les deux pays.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir35 Commentaires
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Posté par Werpin Jean Luc, dimanche 27 février 2022, 21:05
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Posté par STORDIAU Pierre, lundi 28 février 2022, 10:55
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Posté par Patrick Schroeven, samedi 26 février 2022, 21:57
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Posté par Fonder Daniel, dimanche 27 février 2022, 9:30
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Posté par Debersaques Bart, samedi 26 février 2022, 18:47
Plus de commentairesEnfin une réflexion intelligente concernant la guerre en Ukraine. Il s'agit de la prise de parole de Pierre Conesa sur LCI cet après-midi. Selon cet intervenant, lors de la chute de l'URSS, de la dislocation du "Bloc de l'est" et du Pacte de Varsovie, l'Occident ne s'est pas gêné pour avancer ses pions en direction de la Russie. Pierre Conesa compare, à mon avis fort justement, l'humiliation russe à celle subie par l'Allemagne vaincue à la sortie de la guerre 14-18. Clémenceau ne voulait pas de la paix juste proposée par le président Wilson et il exigeait, au contraire, une paix victorieuse et humiliante pour le vaincu. A partir de 1991, l'OTAN s'est installé avec fierté et volupté dans l'ancien pré carré soviétique. Cela n'excuse pas l'agression russe en Ukraine mais cela confirme que l'on ne gagne jamais à humilier un adversaire vaincu. La paix a besoin de fondations plus solides. Et tant pis si cette intervention ne plait pas à tout le monde.
Monsieur Werpin. J'ai déjà exprimé une analyse "historique" similaire à la vôtre dans ces colonnes : au lendemain de la dislocation de l'URSS, l'occident (et l'Europe) a raté une "occasion historique" de régler les divergences "Est-Ouest" issues de la "guerre froide". On aurait dû aider la Russie par une sorte de "plan Mashall" ; comme on a tendu la main aux anciens "satellites" de l'ex URSS et comme ce fut le cas pour le Japon et l'Allemagne d'après guerre. Mais MAINTENANT ... le passé est "passé" et ce qui doit nous préoccuper c'est la fuite en avant; brutal et autoritaire; du nouvel Hitler nucléaire qui est au commande de cette Fédération de Russie. Ainsi vos qualificatifs à propos de l'OTAN sont totalement déplacés et considérer que d'autres nations devraient être le "pré carré" de quiconque est un manque de respect de nos valeurs démocratiques . Et c'est à l'aune de ces valeurs que l'on construit la paix et non l'inverse !
Bon article mais toujours basé sur une vision pro-occidentale. Pour avoir un avis plus objectif il faudrait la même analyse mais vue côté slave. Toujours est-il que la guerre n’est que folie ...
Je ne vois pas de vision occidentale dans cet article J'y ajouterai que comprendre un Staline vieillissant est affaire de psychanalyse plus que de géopolitique ou d'âme slave.
Faudra couper la Russie du monde comme la Corée du Nord. Débrancher des backbone d'internet, couper tout leur importations et exportations et expulser leur corps diplomatiques et organisations de lobbying. Leur gouvernement est une menace a l’intérieur de l’Europe. Ils ont trop d'axes libres leur facilitant de l’espionnage. Ils savent exécuter des gens entre sur notre territoire sans gène.