Le PTB en porte-à-faux, ou le risque de rétrogradation
Avant de dénoncer, sur son site, la « guerre assassine » de Vladimir Poutine, le PTB avait valse-hésité dans un premier temps, quand l’offensive russe avait débuté, ciblant alors surtout les « responsabilités » de l’Otan. Il s’est mis à la faute. Avec quelles conséquences ? Analyse.


Entre faux pas et mauvaise passe. Le PTB descend de son petit nuage rouge ; disons qu’il y a un risque, cela pour la première fois depuis de longues années, marquées par une conquête graduelle de l’opinion publique et un progressif enracinement à gauche dans le paysage politique. Oui, pour la petite histoire – car la grande est ailleurs, à l’Est –, la guerre en Ukraine fait courir un risque collatéral au parti de Raoul Hedebouw, celui de voir s’interrompre ce qu’il faut bien appeler une success story en politique – en américain dans le texte, ça fait mal.

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