« Une flûte enchantée » et un Mozart désaccordé
Des costumes rococos, un décor plantureux, une pléthore de comédiens et de chanteurs lyriques : Au Parc, la débauche de moyens ne parvient pas à cacher les coutures décousues de la partition.

Qui trop embrasse mal étreint, dit-on. De fait, Une flûte enchantée roule tellement de patins à la fois qu’on n’en ressent, au final, qu’une inconsistante caresse. Le bécotage ici prend la forme de costumes froufroutants, de coiffures kitschs, d’un décor tout en dorures baroques et d’un texte plus surchargé qu’une perruque de Marie-Antoinette.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire