Les investisseurs russes font profil bas sur le marché immobilier européen
Présents à une époque en Belgique, ils y sont toujours restés marginaux. Au contraire de la France.


Gel des réserves financières des banques russes en Europe et aux Etats-Unis, blocage des accès de la banque centrale russe au marché des capitaux, avoirs des personnalités de premier plan bloqués (comme les yachts des oligarques récemment saisis en Italie)… Il ne fait pas bon être un investisseur russe aujourd’hui.
La Belgique échappe à cette chasse aux sorcières de la haute finance pour une seule raison : mises à part quelques opérations réalisées à la fin des années 80, dans la périphérie bruxelloise et en Brabant wallon, les Russes n’ont jamais été très actifs dans notre pays, préférant, et de loin, d’autres capitales européennes, comme Paris ou Londres.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire