Arnaud De Lie: «Je me lève à sept heures pour traire les vaches avant d’aller rouler»
Ce mercredi, Arnaud De Lie fête ses vingt ans sur le vélo, à la Nokere Koerse. Mais le grand espoir belge ne résume pas son existence à une seule passion. Son équilibre, il le trouve autant sur le vélo que dans la ferme familiale.

« Celle-là, elle est gentille. C’est Sidonie… Il y a aussi Simone. Des brunes des Alpes. Des Suisses… comme Cancellara, mon idole, en fait », s’esclaffe-t-il en posant, dans une douceur à secouer les cœurs, sa main sur le museau de l’imposante vache. Dans la vaste étable familiale aux cinq cents têtes, Arnaud De Lie navigue d’un pas assuré. Bouille ensoleillée, bouclettes rieuses et bottes aux pieds, le « gamin » comme l’appelle affectueusement son papa Philippe, respire la félicité. « J’ai toujours eu la passion de la ferme, des animaux. Si je ne faisais pas du vélo, c’est certain, je travaillerais ici… », glisse ce gaillard à la musculeuse charpente, avec la manifeste approbation d’Oscar, le Braque de Weimar de la maison.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire