«La photo de mon fils sur la plage de Bodrum est un symbole»
Pour le père du petit Alan dont la mort avait bouleversé le monde, la solidarité vis-à-vis des réfugiés se dissout. « Ce n’est pas moralement acceptable de fermer des portes », clame-t-il.

Huit mois après, Abdullah Kurdi reste condamné à vie avec un dernier souhait que personne n’a entendu. «

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