«La petite musique idéologique qui accompagnait tout flux migratoire a disparu»

Pour Béligh Nabli, chercheur associé au Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po Paris, l’exemplarité de l’accueil des Ukrainiens contraste avec le discours banalisé qui accompagne d’ordinaire les flux migratoires. Un décalage qui ne doit rien à la proximité géographique ou culturelle mais qui nous renvoie au racisme à peine voilé que subissent les migrants.
Dans une chronique dans L’Obs, vous expliquez ressentir un profond malaise face à l’accueil à géométrie variable des réfugiés…

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