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Un homme peut en cacher une autre

L’écrivaine Catherine Nichols a eu huit fois plus de réponses des éditeurs en se faisant appeler George. Les maisons d’édition se défendent de faire une différence.

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Ex-journaliste au service Culture Temps de lecture: 6 min

Il semble loin le temps où Aurore Dupin changeait son nom de plume pour George Sand afin de se faire une place dans un milieu essentiellement masculin. C’était au XIXe  siècle. Vraiment si loin ? L’auteure américaine Catherine Nichols vient de prouver le contraire. Comme elle ne reçoit pas de réponses des maisons d’édition à qui elle a envoyé son dernier manuscrit, cette dernière décide de changer son nom pour le pseudo masculin George Leyer. Elle envoie le même manuscrit accompagné d’une lettre de motivation à six éditeurs.

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