Gouverner (et vivre), c’est prévoir, surtout pour les inondations en Wallonie
Une révolution est en route pour mieux préparer ou gérer une crise majeure comme les dernières inondations.


Toutes les recommandations parlementaires du monde ne réussiront pas à empêcher la nature de se déchaîner au-delà de l’imaginable, comme elle l’a fait de manière historique au mois de juillet dernier sur une grande partie du territoire wallon, avec des conséquences dramatiques dans les vallées de la Vesdre ou de l’Ourthe, ou encore du côté de Rochefort.
Aucun député ne pourra empêcher la pluie de tomber en rideau, et pendant des heures, les berges et les ponts de s’effondrer ou les rivières de gonfler jusqu’à noyer des villages entiers. S’ils le veulent, les éléments naturels seront toujours les plus forts.
Ces considérations un brin fatalistes pourraient laisser penser que le travail mené durant plusieurs mois par la commission d’enquête du parlement wallon est vain et inutile. C’est faux, et pour plusieurs raisons.

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