Consolate, comédienne
« Vous ne seriez pas devenue qui vous êtes, si… ? ». Cette question, « Le Soir » l’a posée depuis dix ans à plus de 150 personnalités. Et l’a reposée à Consolate.

Je ne serais pas devenue qui je suis si…
Je ne serais pas devenue ce que je suis si je n’avais pas fait ce métier. Ce métier m’a permis de me rencontrer, d’aller au-delà de moi, d’aller à la rencontre de ma petite histoire, mais aussi de la grande histoire. (NDLR – Dans l’interview des Racines, à l’origine, Consolate avait répondu : « Je ne serais pas devenue qui je suis si je ne vivais pas pour mes morts. » Elle précise pourquoi sa question diffère aujourd’hui.) Le fait d’exprimer que je vivais pour mes morts et d’en avoir conscience, c’est le fait de faire ce métier-là qui m’a permis de nommer cela, de leur donner une place et qu’ils existent.

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