Salvatore Adamo, chanteur
« Vous ne seriez pas devenu qui vous êtes, si… ? ». Cette question, « Le Soir » l’a posée depuis dix ans à plus de 150 personnalités. Et l’a reposée à Salvatore Adamo.


Vous ne seriez pas devenu qui vous êtes si…
Il y a trois « si » importants. Le premier, c’est qu’en 1947, mon père avait le choix d’émigrer en Belgique ou en Argentine, comme l’avaient fait le frère et la sœur de ma mère. Si mon père avait choisi l’Argentine, je ne sais pas ce que je serais devenu. Ensuite, si mon père n’avait pas autant aimé la musique, je n’en aurais pas écouté autant. Aujourd’hui, je suis comme un ordinateur : je sors le fil d’une chanson que je n’ai pas entendue depuis 60 ans et elle est encore à moitié en moi. Enfin, à 16 ans, lors d’un crochet radiophonique, j’avais été éliminé lors de la présélection au Théâtre de Mons. Et un membre du jury a dit à ses collègues : vous devriez repêcher ce jeune garçon. Le soir, à l’applaudimètre, j’ai gagné.

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