«Apocalypse», «En enfer»: l’Italie sous le choc après l’élimination en barrages pour la Coupe du Monde 2022
L’Italie, championne d’Europe en titre, a été éliminée jeudi en demi-finale de barrages de Coupe du monde à Palerme par la Macédoine du Nord (1-0) et manquera un deuxième mondial consécutif. Un choc de l’autre côté des Alpes.

L’Italie du foot a une nouvelle fois été humiliée ce jeudi 24 mars. Battue par la Macédoine du Nord en barrages (0-1), la Nazionale ne participera pas à la Coupe du Monde 2022. Une surprise pour les champions d’Europe en titre qui manqueront un deuxième mondial consécutif, une première historique.
Cet échec cuisant fait évidemment la Une des quotidiens sportifs transalpins. Pour la Gazzetta Dello Sport, l’Italie est « hors du monde » et dit « adieu au Qatar ». Un titre plus sobre que les mots utilisés dans l’un de ses articles et qui témoigne du sentiment général : « Nous sommes de retour dans l’apocalypse ». Le journal repose pointe également « l’échec d’un système qui doit être reformé ». Du côté de Tuttosport, la Une traduit le sentiment des tifosi hier soir : « Nooooooooo ! » alors que le mot « désastre » est utilisé sur son site internet. Enfin, le Corriere dello Sport ne mâche pas ses mots : « En enfer ! », « Élimination choc », « Italie encore absente du mondial »…
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Marco Verratti imite Jean-Michel Saive?
«Apocalypse», «En enfer» … que voilà un vocabulaire adapté pour ce qui n’est qu’un sport, ce qui devrait être un délassement ! Quel manque de respect face à ceux qui vivent vraiment l’apocalypse et l’enfer en Ukraine.
Je signale que Le Soir ne fait que répercuter des titres de journaux transalpins. Lui imputer ces titres à sensations se trompe de cible.
Vous m'ôtez les mots du clavier en effet. Comment, dans un journal sérieux, ne se trouve pas quelqu'un pour empêcher de tels titres lorsqu'une guerre provoque autant de décès, qu'une pandémie nous quitte lentement laissant derrière elle de nombreuses souffrances et juste après un accident tragique qui a endeuillé toute une région... C'est tout simplement intolérable.
Merci, vous m'ôtez les mots du clavier !