Se préparer des nuits réparatrices et plus sereines
Nous voudrions tous mieux dormir ! Pourtant, sommes-nous prêts à faire vraiment ce qu’il faut pour y parvenir ? De meilleurs réflexes en fin de journée et une compréhension des phases de sommeil pourraient pourtant nous aider.

Le sommeil fait partie de nos fonctions vitales au même titre que notre respiration, notre immunité, notre digestion,… Il participe à l’équilibre et à la qualité de vie permettant la récupération des forces physiques, psychologiques et mentales pour que notre organisme s’adapte de façon optimale à l’environnement. Il est essentiel de prendre conscience de l’absolue nécessité d’entretenir et préserver son sommeil, pour son quotidien à court terme et sa santé à plus long terme. « Nous sommes nous-mêmes responsables pour une grande partie, dans notre quotidien, d’actes susceptibles de perturber notre sommeil », confirment les experts de Forté Pharma. « Les plus connus sont les heures irrégulières de coucher, les repas lourds le soir, la consommation d’alcool, de tabac ou de café ou une chambre trop éclairée ou trop chauffée ».
Eviter de devenir un « dormeur sentinelle »
Mais les spécialistes le reconnaissent, c’est un autre comportement qui a modifié nos habitudes de vie et qui, désormais, accentue encore la problématique des insomnies : l’abus d’écrans ! On estime aujourd’hui que 8 personnes sur 10 utilisent leurs écrans (jeux vidéo, internet, télé, ordinateurs, tablettes, smartphone, montre connectée, …) dans le courant de la soirée et 4 sur 10 poursuivent leur visionnage au lit. Il est clairement établi que « ces appareils annulent les signaux du sommeil. L’exposition à la lumière d’écran (lumière bleue) avant le sommeil affecte le rythme veille/sommeil en modifiant la sécrétion de mélatonine dont le rôle est de réguler le sommeil et de faciliter l’endormissement. Ce mode de vie augmente le niveau d’activité et d’éveil et retarde ainsi l’endormissement ». On parle alors de « dormeur sentinelle » pour décrire la modification comportementale de veille et l’exposition tardive à la lumière et la connexion permanente à l’information de jour comme de nuit. Sachant que le sommeil prépare à l’état de veille qui suit, les conséquences prennent de plus en plus d’importance dans notre quotidien.
Dans l’enquête réalisée auprès de 1.000 lecteurs et surfeurs du journal Le Soir en partenariat avec Forté Pharma, plus de 8 répondants sur 10 ayant des troubles du sommeil essaient activement de remédier à la situation en lisant avant de s’endormir, en améliorant leur environnement de sommeil, en ayant une bonne hygiène de vie ou encore en faisant du sport. De quoi favoriser, notamment, l’endormissement.
L’endormissement est important mais pas seulement
Mais un endormissement rapide ne signifie pas pour autant une bonne nuit. Pour le comprendre, il faut savoir qu’il existe plusieurs types de sommeil : le sommeil léger (moment de l’endormissement) et le sommeil lent profond (premières heures de la nuit). Durant cette phase, l’organisme tourne au ralenti et le corps se régénère. C’est le stade le plus reposant. Durant la phase de sommeil lent profond nos défenses immunitaires s’activent et se régénèrent. Nous récupérons de la fatigue physique. Vient ensuite le sommeil paradoxal, le moment des rêves et la récupération de la fatigue psychique (émotions, stress, mémorisation).
« La succession du sommeil lent léger, puis lent profond puis sommeil paradoxal constitue un premier cycle de sommeil d’environ 90 mn. Cette durée est très variable d’un individu à un autre mais reste identique chez un même individu », précisent encore les experts. Bien dormir, c’est effectuer 4 à 5 cycles de 90 mn qui vont se succéder durant une nuit normale. Le nombre de cycles est variable en fonction de la longueur du sommeil et de chaque individu. Chaque nuit est donc constituée de phases précises d’intensité variable qu’il convient de protéger.
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