Jean-Paul Bourelly: « On est à nouveau pertinent»
Avec un nom comme le sien, on s’attend à ce que Jean-Paul Bourelly soit français, du moins le parle. Mais non, le guitariste est américain: il est né en 1960 à Chicago, mais son père était haïtien, d’où son patronyme.


Dès qu’il entend Jimi Hendrix, Jean-Paul veut être guitariste. Il l’est devenu, et un fameux. Dès qu’il entend Charlie Parker, il veut jouer du jazz. Il mêle aujourd’hui le jazz, le blues, le rock à son héritage haïtien et aux rythmes africains. Un mélange détonant, on l’a entendu aux côtés de McCoy Tyner, Steve Coleman, Marc Ribot, Archie Shepp, Cassandra Wilson et le Miles Davis d’Amandla. Et on l’entend aujourd’hui sur « Masters of mud », son titre sur l’album Black Lives. Bourelly vit entre Berlin et Washington. Mais il était à Zurich lors de cet entretien via Zoom.
Comment vous êtes-vous retrouvé sur l’album « Black Lives » ?

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