Bon sang, voilà enfin «Morbius»!
Un film très premier degré, fort linéaire et manquant de consistance dramatique.

Médecin brillant (au point d’avoir refusé un prix Nobel), Michael Morbius souffre d’une hémopathie rare et mortelle. Pour son bien et celui de l’humanité, toute son énergie est consacrée à la recherche d’une thérapie, qu’il pense pouvoir mettre au point grâce à de l’ADN de chauve-souris. Après tout, il s’agit du seul mammifère se nourrissant de sang et ayant développé des anticoagulants naturels. L’élixir qu’il s’injecte le transforme en surhomme : fort, agile, doué d’écholocation comme les chiroptères. Mais aussi assoiffé, très assoiffé !

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire