Sandrine Kiberlain à propos de «Une jeune fille qui va bien»: «Il fait toujours beau les jours de catastrophe»
Passage derrière la caméra très personnel et tout en délicatesse pour Sandrine Kiberlain avec le portrait grave et lumineux d’une jeunesse sous l’Occupation. Tristement d’actualité.


Lors de notre rencontre avec Sandrine Kiberlain sous le soleil cannois en juillet 2021, alors qu’elle venait de présenter son premier long-métrage comme réalisatrice à la 60e Semaine de la critique, personne n’imaginait que la guerre allait faire basculer le peuple ukrainien dans l’horreur. Aujourd’hui, ses propos prennent un écho plus grand.
En quoi était-il essentiel de parler de l’horreur sans la montrer ?

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire