«Sans aide, je n’aurais pas pu payer les études de mon fils»
Dans une école d’hôtellerie à Namur.
Si la non-gratuité de l’école agace de nombreux parents, elle peut carrément virer au cauchemar pour ceux qui vivent en situation de précarité. « Quand Romain, mon fils cadet, est entré en 4e secondaire dans une école d’hôtellerie à Namur, j’ai dû payer un abonnement de train (367 euros), une avance sur les frais de l’année pour les repas, les photocopies et les activités d’éducation physique (360 euros sur 840 euros au total), ainsi que du matériel de cuisine (110 euros) et des vêtements de salle (211 euros), soit un gros millier d’euros rien qu’à la rentrée, déplore Véronique, mère célibataire de deux enfants, actuellement au chômage. Sans l’aide de son père, je n’aurais jamais pu payer à la fois les études de Romain et mes factures de la vie de tous les jours. » Véronique a dû cependant étaler un maximum les dépenses. «

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