Benjamin Schoos: «Construire la nouvelle gouvernance était assez excitant»
Son président, Benjamin Schoos, défend le rôle prospectif que devrait avoir le Conseil supérieur de la culture, malgré la réticence politique. Premier rapport d’activité et bilan d’une naissance chahutée.


Nés en septembre 2020 au cœur de la crise sanitaire, le Conseil supérieur de la culture et les organes consultatifs de la « nouvelle gouvernance culturelle » ont livré ce lundi leur premier rapport d’activité. Près de deux cents pages pour comprendre les seize premiers mois d’existence d’une gouvernance qui semblait une gageure, et a pourtant été réalisée dans le pire des contextes imaginables. Tout n’a pas été rose, de grosses menaces pèsent à la fois sur la culture, sa gouvernance, sa diffusion. Le point avec le président du Conseil, Benjamin Schoos, alias Miam Monster Miam.
Vous publiez les taux de présence dans les divers organes et, bien que les gens soient assez mal payés, ils ont été très actifs.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire