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«Aborder des sujets tabous fait partie du devoir des artistes»

Avec « Mustang », Deniz Gamze Ergüven livre un premier long brillant et poignant, portrait romancé d’une Turquie tiraillée entre désir de modernité et respect des traditions

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Temps de lecture: 6 min

Depuis toujours, Deniz Gamze Ergüven possède une identité double et un parcours cosmopolite. Fille d’un diplomate turc, elle passe son enfance dans une famille de filles dont elle est la cadette, entre Paris et Ankara, avant de s’installer définitivement en France à la fin des années 1980. Cinéphile dans l’âme, elle intègre la section réalisation de la Fémis à Paris en 2002 après un diplôme de lettres et une maîtrise d’histoire africaine à Johannesburg.

Mustang, son premier long-métrage, raconte ce que c’est d’être une femme dans la Turquie d’aujourd’hui. Sonay, Selma, Ece, Nur et Lale, cinq sœurs liées comme les doigts de la main, vont voir leur destin basculer à cause de leur insoumission et de leur folle envie de liberté, à l’image de ces chevaux fougueux que sont les mustangs.

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