Au procès «Paris bis», le logeur d’Abdeslam raconte sa décision «stupide»
Abid Aberkane, le logeur de Salah Abdeslam dans la dernière étape de sa cavale, décrit une décision « stupide » prise « dans l’émotion » de cacher l’ennemi public numéro 1.


Son témoignage était très attendu. Dans ce procès « Paris bis » devant le tribunal correctionnel de Bruxelles – délocalisé dans les anciens bâtiments de l’Otan – Abid Aberkane fait figure de prévenu principal parmi les 14 personnes soupçonnées d’avoir fourni une aide, même mineure, à la cellule terroriste du 13-Novembre.
Le 15 mars 2016, Abid Aberkane est au travail quand deux hommes viennent sonner à sa porte. Son épouse et sa fille voient à travers le judas l’un de ces deux hommes avec une casquette vissée sur la tête : « Je suis un collègue de boulot, c’est possible d’avoir le numéro d’Abid ? » Peu après, l’homme à la casquette appelle Aberkane : « C’est Salah, je suis devant ta porte. J’ai besoin d’aide. »

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Autant dire que ce type se fout éperdument de la justice belge. On est pote ou cousin et cela suffit. Le reste .....
Ils n'on pas honte de jouer les victimes ces petites racailles de Molenbeek? Mais quelle débilité!!!! Le nivellement par le bas.... Qu'on enlève toutes les aides sociales à ces assistés qui ne savent rien faire d'autre que de pondre des gosses sans les éduquer