Enseignement: le gouvernement propose de reporter l’évaluation des enseignants à 2024
Suite à la manifestation du personnel enseignant, le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a rencontré une délégation syndicale. Plusieurs propositions sont sur la table.


Après Bruxelles et Mons, dix mille enseignants et membres du personnel ont battu le pavé dans les rues de Liège ce jeudi. A coup de sifflets, pétards et cornes de brume, ils sont venus manifester leur mécontentement et réclamer des changements en termes de politique scolaire en Fédération Wallonie-Bruxelles. En front commun, les syndicats n’ont pas modifié leur cahier de revendications pour cette troisième manifestation de l’année. Cinq motifs de mécontentement se faisaient face : le décret sur l’évaluation des enseignants, la taille des classes, la lourdeur administrative, le salaire des profs et celui du personnel administratif et ouvrier.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Il faut fusionner et "étatiser" tous les réseaux. C'est la seule manière de stopper ces hémorragies de moyens, de mettre un terme à tous ces excès de concurrence et de restaurer un peu de mixité sociale. Et soumettre tout le monde à une évaluation sérieuse. Après, on verra...
A quand le refus des évaluations par les enfants?
La mobilité des enseignants doit devenir la norme. Il faut répondre aux besoins de formation et non au confort de la fonction.
Un pas en avant, un en arrière mais ça bouge n’est-ce pas? J’ai subi des évaluations professionnelles tout au long de ma carrière et je n’en suis pas mort.