Attentat manqué de Villepinte: retrait de la nationalité belge pour les trois impliqués
Trois Anversois d’origine iranienne préparaient, avec un diplomate en poste à Vienne, un attentat à Villepinte, déjoué in extremis. Ils ont écopé, ce mardi à la cour d’appel d’Anvers, de peines de 18 ans d’emprisonnement pour deux d’entre eux, et 17 ans pour le troisième.

La cour d’appel d’Anvers a rendu son arrêt ce mardi, dans le dossier de l’attentat manqué de Villepinte (Paris) fomenté par des Anversois d’origine iranienne. Assadollah Assadi (50), le diplomate iranien qui avait fomenté l’attentat, était le seul à ne pas revenir en appel – il avait écopé de 20 ans d’emprisonnement. Restaient ses trois complices, un couple de Wilrijk (Anvers) qui avait été condamné à 15 ans pour lui et 18 ans pour elle, et un pseudo-poète contre lequel une peine de 17 ans avait été prononcée. Leur culpabilité pour tentative d’homicide volontaire dans un contexte terroriste et participation à un groupement terroriste a été confirmée ce mardi, ainsi que les peines prononcées, sauf pour celui qui avait écopé de 15 ans, pour lequel la peine est montée désormais à 18 ans. Leur nationalité belge leur est retirée, et une amende de 60.000 euros leur a aussi été infligée à chacun.

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