Procès Depp/Heard: «Les femmes ont un déficit de sentiment de légitimité quand elles prennent la parole»
Lorsque les victimes témoignent de violences conjugales, elles doivent faire face au soupçon et au discrédit, explique la présidente de Vie Féminine.


A quoi renvoie le traitement accordé au procès en diffamation porté par Johnny Depp contre Amber Heard ? Sans préjuger du fond de l’affaire en justice, la mise en récit et les réactions dans son sillage montrent une certaine propension à mettre en doute la parole des femmes, quand elles s’affirment victimes de violences conjugales, selon Aurore Kesch, présidente de Vie Féminine.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir7 Commentaires
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Posté par L M, jeudi 2 juin 2022, 17:41
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Posté par S E, jeudi 12 mai 2022, 18:53
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Posté par S E, jeudi 12 mai 2022, 18:49
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Posté par J.-M. Tameyre, jeudi 12 mai 2022, 9:32
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Posté par Lhermitte Jean-Yves , jeudi 12 mai 2022, 8:41
Plus de commentairesC’est une vrai bouffonnerie cet article
Ça mitraille à tout va dans cet article, ça part dans tous les sens. Comparer ce cas en particulier aux cas DSK et PPDA discrédite complètement l'auteur. Quel lien entre un abus de pouvoir et des violences domestiques dans un couple. On est complètement à côté de la plaque.
Il a bon dos le patriarcat, entre-temps c'est lui qui est au chômage et elle qui continue à faire sa promo. C'est marrant ce double discours et de défendre une femme qui n'apporte aucune preuve sur à part quelques photos qui ne correspondent absolument pas avec les scènes de violence qu'elle décrit. Et en plus l'animal n'est même pas propre, elle ch*e dans son lit.
Il est gênant que le cinéma et les réactions théâtrales de Amber Heard lors de son témoignage pour des faits d'il y a 7 ou 10 ans (elle n'a pas fait de thérapie entre-temps cette polytraumatisée ?) soit qualifié ici d'un a priori de "déficit de légitimité". Autant l'avidité de Mme Heard pour l'argent et sa volonté de nuire à M. Depp ne la grandissent pas, autant la position des féministes promptes à clouer tous les hommes au pilori devient lassante.
Je m inscris en faux par rapport a certaines généralités societal ou psychologique qui sont avancés dans cet article. Un exemple parmi d'autres :" Ici, on est face à un homme qui a du pouvoir, comme DSK ou PPDA, donc sa parole semble d’office avoir plus de crédit qu’une femme qui prend le risque d’égratigner son image". Dans le cas de PPDA, que je ne soutiens aucunement, il abusé de stagiaires et journalistes qui se sont tues car elles avaient peur pour leurs carrières professionnelles. Le problème dans ce cas ce n est pas d etre crues mais le danger que leurs témoignages fait porter sur leur carrière. Donc tant que les théoriciennes du féminisme de combat se tromperons dans leurs analyses des faits, il n est pas ettonant que le grand public ne les suivent pas dans leur guerre contre le mal fait au femmes.