«C’est plus facile pour ceux qui parlent anglais»
A l’Institut auderghemois de promotion sociale, les cours de français ont le vent en poupe auprès des réfugiés ukrainiens. Désireux de tendre vers une plus grande autonomie, ces adultes doivent toutefois se confronter à de nombreux défis.


Je suis mère. Je suis la fille… Non. J’ai une fille. » Dans un français hésitant, Nadia, ukrainienne récemment arrivée à Bruxelles, tente de répondre aux questions de son enseignante. Après trois semaines de cours intensifs, à raison de 12 heures par semaine, la distinction entre le verbe « être » et « avoir » commence à peine. Sur le tableau interactif, les mots « maman », « grand-père », « fille », « cousin » accompagnés de pictogrammes aux couleurs flashs sont là pour l’aider à former une phrase.

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