Au Liban, «on ne peut pas se contenter d’attendre la mort» face aux crises
Personne au Liban ne croit que les élections législatives du 15 mai pourront apporter le début d’une ombre de solution à l’immense crise économique et démocratique qui ronge le pays. Reportage auprès de ceux qui se languissent du changement sans oser y rêver.


C’est comme si un malheur en amenait forcément un autre, le Liban a vécu des années terribles : une révolution qui s’est endormie, une pandémie, l’explosion du port, une crise économique historique. Ce 15 mai, des élections législatives pourraient permettre de redonner un nouveau souffle au pays. Mais personne n’y croit vraiment.

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