La situation des coaches va se décanter après les Playoffs
Depuis ce jeudi Bruges est le cinquième club qui, officiellement, n’a plus d’entraîneur pour la saison prochaine. Mais l’incertitude est de mise dans d’autres entités, même parmi les plus compétitives de la saison.

Dans le microcosme du ballon rond, le métier d’entraîneur reste un job à part. Le nombre de CV qui peuvent atterrir dans les clubs quand un coach a pris la porte démontre qu’il s’agit d’une fonction qui suscite les convoitises même si elle demeure la plus exposée du milieu. Avec souvent le seul appui de son staff, et encore parfois il y a des forces occultes à l’intérieur de celui-ci, l’entraîneur est un homme seul qui sait que sa durée de vie dans son rôle dépend dans la majorité des cas des résultats. Parce que le renouvellement est permanent en cours de saison comme au terme de celle-ci. Rien que sur les douze derniers mois, dix entraîneurs ont été envoyés à la casse alors que, fait nouveau, trois ont de leur propre initiative décidé de tenter une autre aventure (Luka Elsner, Alexander Blessin et Philippe Clement). Mais ce nombre de licenciements n’est pas un record. En 2012-2013, par exemple, quatorze entraîneurs avaient dû plier bagages alors que le championnat ne comprenait que seize formations.

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