Pourquoi les prix des kots s’envolent
La période de fin d’année scolaire est synonyme de recherche d’un kot pour de nombreux étudiants. Une recherche de plus en plus coûteuse sur un marché qui se professionnalise.

A l’approche du redoutable rush des examens de fin d’année s’ajoute souvent la recherche d’un (nouveau) logement étudiant. Qu’il soit en colocation, en résidence ou en habitat partagé, le kot reste prisé par les étudiants belges car synonyme d’indépendance et de (nombreuses) expériences. Ce succès grandissant s’accompagne néanmoins d’une hausse vertigineuse des prix dans un marché qui ne cesse de se professionnaliser et d’accueillir une nouvelle offre de plus en plus confortable.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Ce n'est pas tellement l'augmentation du nombre d'étudiants en lui-même qui pousse la demande mais celui du nombre d'étudiants qui veulent koter. Avant, beaucoup d'étudiants faisaient les navettes et choisissaient une université (ou haute école) d'où il était possible de rentrer à la maison après les cours. Il n'y a que les jeunes du fond de l'Ardenne qui kotaient systématiquement. La donne a changé et le kot est, dans l'esprit de nombreux jeunes (et de leur parents), synonyme de la vie étudiante, et même si il est possible de navetter, ils prennent un kot. Mes deux filles ont un fait un master à Bruxelles, l'une à koté et l'autre pas. C'est un mode de vie plus qu'autre chose...parce que quand ils ont fini de faire les courses, le repas, la vaisselle, un minimum de nettoyage, etc...la plupart seraient rentrés à la maison.
Normal. Suffit de lire le roman de Jean Dutourd, "Au bon beurre". Rien n'a changé. Et pas que pour les kots...