Sans-papiers: la pétition «In my name» trébuche sur des problèmes techniques
La pétition lancée par des collectifs de sans-papiers, qui devait leur permettre de se faire entendre par les parlementaires, a réuni 35.000 signatures. Mais celles-ci étant électroniques et en version papier, elles ont été refusées.

Le 8 décembre dernier, trois gros collectifs de sans-papiers lançaient la campagne « In my name » avec pour objectif de rassembler avant l’été suffisamment de signatures pour « forcer » le parlement, au sein de la commission compétente, à les écouter. La loi « d’initiative citoyenne » du 2 mai 2019 permet en effet aux citoyens d’introduire en ligne une pétition à la Chambre ; si celle-ci atteint un certain nombre de signatures (14.500 provenant de personnes domiciliées en Flandre, 8.000 en Wallonie et 2.500 à Bruxelles), le pétitionnaire à la base de l’initiative peut être entendu par les parlementaires – sans engagement, évidemment, quant à la suite qui sera donnée.

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