Festival de Cannes: Forest Whitaker, Palme d’or d’honneur
Après Jodie Foster l’an dernier, l’acteur, réalisateur et producteur américain est honoré par le Festival de Cannes en tant qu’artiste immense mais aussi comme homme engagé auprès de l’UNESCO depuis dix ans. Au nom de la paix.


Sa voix douce, un peu voilée, contraste avec son physique imposant et le charisme immense opère d’emblée. On connaît sa puissance de jeu doublée d’une sensibilité pleine de grâce depuis l’avoir vu dans Platoon, d’Oliver Stone, en tueur à gages mélancolique dans Ghost dog, de Jim Jarmusch, ou encore dans la peau du dictateur ougandais Idi Amin Dada, dans Le dernier roi d’Ecosse, le film de Kevin MacDonald qui lui valut un Oscar. Forest Whitaker, c’est une première fois à Cannes en 1988 et c’est une révélation magistrale par son interprétation inoubliable du jazzman Charlie Parker dans Bird, de Clint Eastwood, ce qui lui vaut un Prix d’interprétation. « Je suis venu pour la première fois il y a 34 ans. j’étais un gamin idéaliste. Je ne connaissais rien. Je ne savais pas comment répondre aux questions. Je n’avais jamais vécu un festival. J’étais ébloui, sidéré de vivre cette expérience.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Ca c'est de la richesse culturelle !
Avec des gus comme toi, la culture est réduite à rien !