Festival: dans la rue et en salles, Maelström chante poétiquement la Maison
Etre ou ne pas être chez soi ? Ça signifie quoi ? Habiter, être nomade, s’exiler… Ces interrogations prennent chair dans le FiEstival #16 du 26 au 29 mai.


Les éditions Maelström (elles écrivent maelstrÖm, est-ce plus qu’une coquetterie ?) ont de la suite dans les idées. Depuis 2020, elles développent un FiEstival (même remarque) qu’elles ont nommé Chants de la transition. En 2020, prélude, comme dans une symphonie : Lockdown, le Bal masqué ; en 2021, premier mouvement : l’Athanor ; cette année, deuxième mouvement : la Maison.
« C’est le corps, le cœur, l’habitat, le territoire, l’abri, la langue, le rêve… » développe David Giannoni, poète et directeur de Maelström. « Ces temps troublés nous ont conduits à vivre la sphère de l’intime d’une façon nouvelle entre repli, centration, clivages, activités humaines virtualisées… Mais qu’est-ce qui est essentiel et ne l’est pas, comment dépasser les clivages, les séparations pour inventer de nouvelles unités ? »

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