Les Racines élémentaires de David Hockney: «J’ai toujours su que je devais quitter Bradford»
David Hockney nous ouvre les portes de son légendaire refuge normand, où il s’est réinventé durant la pandémie. Le grand maître britannique nous raconte ses jeunes années, sa passion pour les arts, son envol vers New York et Los Angeles, son retour vers le Yorkshire natal… A près de 85 ans, Hockney fume, peint, s’amuse. Et savoure le temps qui reste, « ici et maintenant »

Mercredi 11 mai. Peu avant quinze heures, après avoir traversé la propriété de « La Grande Cour », qui fait ce jour-là la fête au printemps, nous rejoignons le maître des lieux, dandy de la tête aux pieds. Autour de David Hockney, attablé en son atelier, une quarantaine de nouveaux portraits. Echanges de salutations à l’anglaise.
Nous lui rappelons le principe des « Racines élémentaires », qui commence toujours par cette question rituelle :
Je ne serais pas devenu qui je suis si…

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