«Déjà vu»: L’Otan s’est retrouvé un ennemi
Vladimir Poutine a ramené le monde à l’âge des « deux Blocs ». Une époque où chacun était sommé de choisir son camp…


S’il a voulu, en envahissant l’Ukraine, envoyer un avertissement aux Occidentaux et aux voisins de la Russie tentés de rejoindre l’Otan, Vladimir Poutine a obtenu exactement l’effet inverse de celui recherché. Non seulement la Finlande et la Suède, pays historiquement neutres, ont déposé leur demande d’adhésion alors que le sujet n’était pas à l’ordre du jour il y a trois mois à peine, mais l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord, qu’Emmanuel Macron déclara en état de «<UN>mort cérébrale<UN>» en novembre 2019, vit une seconde jeunesse.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
On oublie également de signaler le fameux "Memorandum de Budapest" du 5 décembre 1994 ... Et par laquelle la Fed. de Russie reconnu l'intégrité territoriale de l'Ukraine en échange de la cession de TOUT l'armement nucléaire qu'elle possédait !! Avec un tel armement (tactique et stratégique) , je ne crois pas que ladite Fed de Russie aurait même osé "tutoyer" l'Ukraine aujourd'hui ! Dommage, d'avoir signé avec le diable !
L'Otan est un organe de DÉFENSE ... elle ne "cherche pas" d'ennemis. Maintenant; lorsque on "la joue à l'envers" comme Poutine ... On oublie que l'agresseur est la Russie et l'Ukraine la victime !! Simple.
Déjà une sérieuse erreur sur le fond Mr William Bourton, en 1999, ce n'est le Kosovo qui sera bombardé par l'Otan et ses séides, mais la Serbie