Charles Leclerc, contraint à l’abandon en Espagne: «Déçu mais il y a du positif»
Les superstitieux diront que c’est peut-être mieux comme ça : que Charles Leclerc soit frappé par la poisse une semaine avant « son » Grand Prix de Monaco où il a toujours connu une noire malchance depuis qu’il est en Formule 1.

En supposant ainsi que la perte de puissance survenue au 27e tour d’un Grand Prix d’Espagne qu’il survolait alors presque trop facilement ne pourrait plus se reproduire dans les rues de la Principauté dimanche prochain. Le patron de la Scuderia voyait cela de façon plus pragmatique : en se disant que, « comme il n’y a qu’une semaine entre les deux courses, on n’aura pas le temps de gamberger : ramené à Maranello, l’unité de puissance va être décortiquée afin de voir la ou les pièces défaillantes. Et puis on sera déjà aux essais du prochain Grand Prix, et tout repartira », glissait lucidement Mattia Binotto, visiblement peu décontenancé par cet incident qui s’est pourtant traduit par la perte du leadership dans les deux championnats.

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